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Son enfance... Il
est né en 1914 dans la ville de Ouchqou Dara qui était à l'époque la
capitale d'Albanie, dans une famille pauvre mais pratiquante et connue
pour les connaissances religieuses. Son père al Haj Nouh fut diplômé
des instituts religieux de la capitale Othomane " Istanbul ",
puis il est revenu chez lui pour enseigner et éduquer les gens. Le
grand savant al Albany a terminé ses études primaires dans l'école de
" Jam'yat al Is'af al Kheiry " à Damas avec un niveau
élevé. Il
apprit de son père la réparation des montres jusqu'à devenir un des
meilleurs réparateurs de la ville, et il commença à gagner sa vie de
ce métier. Son apprentissage de ce métier et son émigration vers la
Syrie (Cham) furent deux grands bienfaits d'Allah pour lui, et pour cela
son père a un grand mérite car le métier de réparateur de montres
lui permit d'avoir un grand temps libre pour pouvoir lire et étudier
les livres, et l'émigration vers Damas lui permit de connaître la
langue arabe et les sciences religieuses depuis leurs sources. Vers
la science du Hadith et l'importance qu'il lui donna... Le cheikh al Albany se dirigea vers la science du Hadith alors qu'il n'avait que 20 ans à peu près, attiré par les articles qui paraissaient dans la revue "al Manar" publiée par le cheikh Mouhammad Rachid Rida -qu'Allah lui fasse miséricorde-. Le
premier travail qu'il entreprit dans le Hadith fut de recopier le livre
: "
La science du Hadith est réservée à ceux qui font faillite !
". Malgré
tout cela, l'amour du cheikh pour le Hadith du Messager d'Allah -prières
et bénédiction d'Allah sur lui-,
et la distinction de l'authentique et du faible ne faisaient
qu'augmenter. Et puisqu'il vivait sous la charge de son père qui avait
à sa charge une grande famille, il n'avait pas les moyens d'acheter ce
qu'il lui fallait comme livres qu'il ne trouvait pas dans la bibliothèque
de son père qui était pleine de livres suivant le rite Hanafite. C'est
pour cela qu'il se dirigea vers la grande bibliothèque Adhahirya.
Ceci fut un grand bienfait d'Allah sur lui car il y trouvait tout livre
qu'il ne pouvait acheter, de même certaines librairies commerciales lui
prêtaient des livres comme la librairie de Salim al Qouçaibany -qu'Allah
lui fasse miséricorde-
et la librairie arabe Hachémite (al Maktaba al 'arabya al hachimya) de
'Oubeid Ikhwane. Son
intérêt pour le Hadith et
ses sciences est devenu sa grande préoccupation, jusqu'à ce qu'il lui
arrivait de fermer sa boutique pour aller à la librairie Adhahirya et
il y restait douze heures sans se lasser de la lecture, des annotations
et de la vérification sauf pour les Salâts pour lesquelles il s'arrêtait.
Et souvent il mangeait simplement dans la bibliothèque. Puis la
direction de la bibliothèque décida de lui réserver une pièce pour
lui seul, pour qu'il puisse faire ses recherches utiles dans la science,
et aussi de lui donner la clé de la bibliothèque. Et là, pendant des
années, le cheikh venait tôt le matin avant les employés qui eux
retournaient chez eux à l'heure du Dhohr sans revenir, alors que lui, y
restait ce qu'Allah veuille qu'il reste, et il lui arrivait de ne
repartir qu'après avoir prié la Salât du 'Icha. Tous
ceux qui le voyaient à l'époque dans la bibliothèque, savaient le
degré de ses efforts et sa volonté de ne pas perdre de temps, jusqu'à
que certains lui en voulaient car il était trop dans la lecture et l'écriture
lorsqu'ils lui rendaient visite à la bibliothèque. Naturellement le
cheikh était excusable car il ne voulait pas perdre son temps avec les
longues salutations et bienvenues, il répondait aux questions qui lui
étaient posées, tout en
regardant dans le livre et sans relever son regard vers celui qui pose
la question avec le strict minimum de mots suffisants. Parmi les fruits
de ce grand effort béni, il y a eu : L'appel
à Allah exalté soit-Il... Les
Hadiths du Messager d'Allah -prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
ont eu un grand effet sur la voie qu'entreprit le cheikh dans la science
comme dans la pratique, et c'est comme ça que le cheikh prit la bonne
voie authentique qui est de ne prendre que d'Allah et de Son Messager -prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
seulement en s'aidant de la compréhension des grands Imams parmi les
pieux prédécesseurs, sans aucun fanatisme pour l'un d'entre eux, mais
plutôt c'est la vérité qu'il recherchait là où elle se trouve. De
là, il commença à contredire le Madh-hab Hanafi dans lequel il
grandit. Son père -qu'Allah
lui fasse miséricorde-
s'opposait à lui durement, alors le cheikh lui démontrait qu'il n'était
pas permis à un musulman de délaisser la pratique des Hadiths du
Messager d'Allah -prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
alors qu'ils sont authentiques et que certains Imams les ont mis en
pratique quelque soit celui qui les contredit, tout en lui expliquant
aussi que ceci est la voie de l'Imam abou Hanifa ainsi que les autres
imams, qu'Allah leur soit clément. Et
c'est comme ça que les discussions ont commencé entre le cheikh al
Albany et les autres savants. Il subit une grande opposition de la part
de beaucoup de cheikhs fanatiques à leurs Madh-hab et des cheikhs
Soufis et des charlatans innovateurs, et surtout des gens de la même
origine que lui (la communauté albanaise de Damas) qui poussaient la
masse contre lui en prétendant qu'il était un Wahhabite égaré et ils
prévenaient les gens contre lui, alors qu'au même moment des savants
connus de Damas étaient d'accord avec lui et l'ont encouragé à
continuer dans son prêche. Parmi eux, il y avait le grand savant Bahjat
Albaitar, le cheikh 'Abdoul Fattah al Imam, le cheikh Tawfiq al Barzah
et bien d'autres, qu'Allah leur soit clément. Le Cheikh al Albany n'en
avait que faire des paroles des gens et de leur opposition, mais bien au
contraire ceci ne faisait que le pousser à persister sur la vraie voie.
Il s'éduquait à avoir la patience et à supporter le mal (qu'on lui
faisait) et ceci comme application du commandement de Louqmane à son
fils comme Allah nous le cite dans Son Livre Et
il est véritablement comme le dit sur lui un de ses élèves : Le
cheikh prit en main l'étendard du Tawhid et de la Sounnah, et visita
beaucoup de savants de Damas et il y a eu entre lui et eux beaucoup de
discussions sur des questions du Tawhid, l'attachement fanatique au
Madh-hab et les innovations, et ceci, en compagnie du cheikh 'Abdoul
Fattah al Imam -qu'Allah
lui fasse miséricorde- qui
était à l'époque le président de l'association des jeunes musulmans. Le
cheikh -qu'Allah
lui fasse miséricorde-
donnait deux cours par semaine auxquels participaient les étudiants en
religion et quelques professeurs d'université. Parmi les livres qu'il a
enseignés, il y a : Mais
il n'a pas pu terminer ces deux derniers livres à cause de certains
cheikhs qui se sont plaints de lui auprès des autorités et il fut
emprisonné à peu près six mois. Il avait déjà connu la prison avant
cela en 1967 où il y resta un mois. Le
cheikh avait des voyages mensuels organisés, au début c'était pour
une semaine par mois, puis ce fut trois jours par mois. Le cheikh allait
dans les grandes villes comme Halab, Idlab, Alladhiqya, Salmya, Homs,
Hama, Arriqah puis des voyages vers la Jordanie avant qu'il ne décide
d'y résider dernièrement. Tous ces efforts et ces voyages eurent de très
bons fruits, même s'il y avait l'opposition des gens de la passion,
cela ne le décourageait pas à continuer. L'enseignement
à l'université Islamique de Médine... Avec
l'aide d'Allah, élevé soit-Il, puis des efforts continus, de bons
ouvrages du cheikh ont vu le jour dans les domaines du Hadith, du Fiqh,
de la 'Aquida et autres qui ont montré aux savants ce qu'Allah lui
avait donné comme compréhension authentique, grande science, grande
compréhension du Hadith, de ses sciences, de ses narrateurs, ainsi
qu'un chemin scientifique qui fait du Livre et de la Sounnah le juge et
la balance dans tous les domaines, et tout ceci avec la compréhension
des pieux prédécesseurs et leur voie dans l'apprentissage et du d'écoulement
des règles et des lois. C'est
cette voie qu'entreprirent beaucoup de grands savants surtout le cheikh
al Islam ibn Taymiya et ses élèves, et ceux qui les ont suivis. Tout
ceci rendit le cheikh célèbre, les savants retournaient à lui, les
responsables des écoles de science reconnaissaient son degré. Ce qui
poussa les responsables de l'université islamique (de Médine) lors de
sa fondation, et à leur tête le cheikh et grand savant Mouhammad
ibn Ibrahim Âl cheikh -qu'Allah
lui fasse miséricorde- le
président de l'université islamique à l'époque et le grand Moufti du
Royaume d'Arabie Saoudite, de choisir le cheikh al Albany pour le poste
de professeur
du Hadith, de ses sciences et de sa compréhension à l'université.
Le cheikh y resta trois ans, de l'année 1381h jusqu'à la fin de l'année
1383h, en enseignant le Hadith et ses sciences, et pendant cette période
il était un bon exemple à suivre dans l'effort, la sincérité et la
modestie. Ceci se voyait très bien dans ses assises avec les étudiants
pendant les inter-classes et dans les voyages organisés par l'université.
Et à cette époque, il était membre
du Conseil de l'université. Le
retour du cheikh à Damas... Le
cheikh est retourné à Damas avec encore une plus grande volonté, et
il rejoignit sa pièce qui lui était réservée dans la librairie
Adhahirya, et il se remit à étudier et écrire, et il consacra tout
son temps à cela. Il délaissa sa boutique (pour réparer les montres)
à un de ses frères, puis à son fils après la mort de son frère -qu'Allah
lui fasse miséricorde-.
Son temps entièrement réservé à l'étude et l'écriture lui permit
de présenter au monde islamique encore plus d'ouvrages utiles et de
bonnes vérifications qu'on citera dans cette biographie. Les liens avec les savants, leur étonnement et leurs éloges à son encontre... Le
cheikh al Albany rencontra beaucoup de savants et d'étudiants en
science, et il leur apprenait des choses comme eux lui en apprenaient.
Et parmi les savants qu'il a rencontrés, il y a : Le cheikh Mouhammad Hamid al Faqi président de Jama'at Ansar as Sounah al Mouhammadya en Egypte -qu'Allah lui fasse miséricorde- Le
grand savant Ahmad Chakir
-qu'Allah
lui fasse miséricorde-. Il
y a eu entre eux et lui des recherches et des discussions bénéfiques
dans la science. Le
cheikh
'Abdour-Razzaq Hamza -qu'Allah
lui fasse miséricorde-. Le
docteur et grand savant
Mouhammad Taqyouddine Al Hilaly
Le
grand savant et cheikh
al Hafidh Mouhammad al Joundalawy -qu'Allah
lui fasse miséricorde- durant
la période où il enseignait à l'université islamique de Médine. Le
grand savant et cheikh
Mouhammad Raghib Attabbakh -qu'Allah
lui fasse miséricorde-
l'historien de Halab voulu rencontrer le cheikh al Albany, et
cela s'est fait par l'intermédiaire du professeur Mouhammad
Moubarak -qu'Allah
lui fasse miséricorde-.
A cette époque,
le cheikh al Albany était encore tout jeune, mais le cheikh at-Tabbakh
était surpris de ce qu'il entendait sur lui au sujet de sa grande
volonté dans le prêche au Livre et à la Sounnah, et son étude des
sciences du Hadith. Et il lui donna la permission de rapporter d'après
lui ses chaînes de narration et il lui donna son livre : Al anwar
al jalya fi moukhtaçar al athbat al halabya. Et
en ce qui concerne ses relations avec son excellence le cheikh 'Abdoul
'Aziz ibn 'Abdillah ibn Baz-qu'Allah
lui fasse miséricorde-,
le président de la direction des recherches scientifiques de l'Ifta
et du prêche en Arabie Saoudite, il y avait de très bonnes liaisons
entre eux, et ils ont eu des assises et des discussions bénéfiques
dans la science lors de leurs rencontres et lorsqu'ils s'écrivaient. Le
cheikh 'Abdous-Samad
Charafoud-dine un des savants de l'Inde et qui publia après
vérification le premier volume de As-Sounanoul Koubra de
an-Nassaï et Touhfatoul Achraf de al Mazi. Ils s'écrivaient
beaucoup dans le domaine de la science, et une fois il lui écrivit : Beaucoup
de savants lui ont écrit et lui ont fait savoir qu'il les
impressionnait et qu'ils l'aimaient, qu'ils avaient envie de le
rencontrer, surtout les savants d'Inde et du Pakistan. Le
grand savant 'Oubeidoullah
ar-Rouhmany l'auteur de: Mirqat al mafatih Charh
Michkat al Maçabih. Le
cheikh Mouhammad
az-Zamzamy au Maroc qu’il a rencontré et avec qui il y eut
des recherches et des discussions dans la science chez lui à Tanger.
Et bien d'autres… Beaucoup
d'étudiants retournaient à lui, et ceci même encore, durant leurs études
et leurs hautes spécialisations pour les diplômes du
"Doctorat" et du "Magistère" dans les sciences
islamiques. Ils allaient à sa rencontre, l'écoutaient, lui écrivaient
et profitaient de lui dans les sciences du
Hadith et autres. Parmi
eux, il y a le docteur Amine
al Miçri -qu'Allah
lui fasse miséricorde-,
le président du département des études islamiques à l'université
islamique de Médine. Et il disait clairement que le cheikh al Albany méritait
plus son poste que lui et qu'il en était plus en droit. Il se considérait
comme un de ses élèves, et il encourageait les étudiants à profiter
de sa présence lorsqu'ils visitaient Médine. Ce même témoignage lui fut donné par le docteur Soubhi As-Salih, ancien professeur du Hadith et de ses sciences à l'université de Damas et à l'université libanaise aujourd'hui. Ainsi que le docteur Ahmad Al 'Assal, président du département de la culture et des études islamiques à l'université de Ryad. Le
cheikh Mouhammad
Taïb Oukij Al Yousnari, professeur de l'exégèse, du Hadith
et du Fiqh à la faculté religieuse de l'université d'Ankara en
Turquie et à l'institut islamique supérieur à Konya, lui envoya
beaucoup de lettres où il y montre son étonnement pour le cheikh al
Albany et où il pose certaines questions concernant la science. Parmi
lesquelles, il y a cette lettre datée du 7 Cha'bane 1389h où il dit : Aussi
le docteur 'Abdoul-'Ali
'Abdoul-Hamid Al A'dhamy, le professeur à la faculté des études
islamiques à l'université de Beirou au Nigéria, qui lui fit de très
bons éloges. Le
professeur Ahmad
Madh-har Al 'Adhama, président de l'association at-Tamaddou
al Islami à Damas, qui fut impressionné de sa science et qui lui
permis d'écrire dans sa revue beaucoup d'articles sans faire attention
aux dires de beaucoup d'opposants. Il écrit sur lui: « Damas
connut son plus grand Mouhaddith, le grand savant Badroud-dine al
Housseiny ; et lorsqu'il mourût, la ville n'avait plus d'imam dans les
sciences du Hadith vers qui les gens retourneraient, si ce n’est un
jeune Arna-outy[1]
qui a grandit dans la science et la piété, qui est le professeur
Mouhammad Naciroud-dine (al Albany) connu parmi les jeunes pour son
travail dans le Hadith et ses sciences, qui a réunit les jeunes autour
de lui et fut remarqué. Il a pu avoir des élèves qui apprennent de
lui du fait de sa langue arabe claire, de la douceur de ses paroles et
ses bonnes discussions. » Aussi
le grand savant Mouhammad
'Ata-oullah Hanif, auteur de At-Ta'liqat As-Salafya 'ala
Sounane an-Nassa-i qui lui fit des éloges.
Ses
efforts dans la science, ses fonctions et ses voyages... La
faculté des études religieuses de Damas le choisit pour qu'il vérifie
qui a rapporté les Hadiths dans le domaine du commerce, concernant
l'encyclopédie du Fiqh islamique que l'université voulait publier (en
1955). Il
fut choisit comme Membre dans le bureau du Hadith, qui fut créé
à l'époque de l'union entre l'Egypte et la Syrie, pour relire et
superviser la publication des livres de la Sounnah. L'université
as-Salafya de Banars en Inde lui demanda de venir en Inde pour être le
Cheikh du Hadith et il s'excusa de son refus car il était difficile
pour lui d'emmener toute sa famille à cause de la guerre qui opposait
l'Inde au Pakistan à cette époque. Le
ministre de l'éducation saoudien Hassan ibn 'Abdillah Âl Cheikh lui
demanda en 1388h d'être le Superviseur de la faculté des hautes études
islamiques à l'université de la Mecque. Il
fut choisit Membre du haut conseil de l'université islamique de Médine
de l'année 1395h à l'année 1398h. Il
donna une conférence importante en Espagne, suite à l'invitation de
l'union des étudiants musulmans en Espagne, et qui fut publiée plus
tard avec pour titre : Al Hadith Houjja binafsih fil 'Aqa-id wal
Ahkam (Le Hadith est un argument en lui-même (à part entière)
dans les croyances et les règles). Il visita l'émirat du Qatar et
y donna une conférence avec pour titre : Manzilatou as-Sounnah
fil Islam (la place de la Sounnah dans l'Islam). Il fut
envoyé par la direction des recherches scientifiques, de l'Ifta et du
prêche (Ryad - Arabie Saoudite) en Egypte, au Maroc et en
Grande-Bretagne pour prêcher au Monothéisme et à la vraie voie
islamique. Il fut invité à beaucoup de congrès. Il participa à
certains et s'excusa à la plupart de ne pouvoir y participer
à cause du manque de temps, vu le nombre de ses travaux dans la
science. Il visita certains pays européens, il y rencontra les minorités
musulmanes ainsi que les étudiants musulmans, et il y donna des cours
importants. Les
ouvrages et les travaux scientifiques... Le
cheikh a laissé beaucoup de livres écrits par lui-même et des travaux
scientifiques sur d'anciens ouvrages, dont certains ont été traduits
dans d'autres langues. [Ici l'auteur 'Acim al Qar-youty en cita 114 et j'invite les frères et les sœurs à retourner au texte arabe pour voir les titres. Quant à son élève cheikh ‘Ali Hassan al Halaby, il en cite 218 dans son livre Ma’a cheikhina Naçir as-Sounnah wad-Dine.] (Le traducteur) D’après
une biographie rédigée par aboul
Achbal 'Acim ibn 'Abdillah al Qar-youty, extrait du site http://www.al.baida.online.fr [1] Habitant de la région comprenant l’Albani et le Kosovo La louange est à Allah, le maître de l’univers. |