Introduction

 

 

Auteur : Cheikh al Albany -qu'Allah lui fasse miséricorde

 

« La louange est à Allah. Nous le louons, nous demandons son secours,  nous lui demandons pardons, et nous demandons sa protection contre notre propre mal et contre nos mauvaises actions. Celui qu’Allah guide, personne ne peut l’égarer, et celui qu’il égare, personne ne peut le guider. J’atteste qu’il n’y a qu’une seule divinité : Allah, le seul, sans associés, et j’atteste que Mouhammad est son serviteur et son messager.

« Ô les croyants! Craignez Allah comme Il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission. » [Âl ‘imrân : 102]

«  Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement. » [Nisâ : 1]

« Ô vous qui croyez! Craignez Allah et parlez avec droiture, afin qu’Il améliore vos actions et vous pardonne vos péchés. Quiconque obéit à Allah et à Son messager obtient certes une grande réussite. »[Al-Ahzâb : 70-71]

Le livre d’Allah est la plus véridique des paroles, et la guidé du prophète Prière et Salut d'Allah sur lui est la meilleur des guidé. Les plus mauvaises choses, sont celle innové. Toute innovation est Bid’a, toute Bid’a est égarement, et tout égarement mène au feu. » [1]

La meilleure parole par laquelle nous puissions ouvrir notre discours est la parole d’Allah :

« Les tout premiers (croyants) parmi les Émigrés et les Ansars et ceux qui les ont suivis avec droiture, Allah les agrée, et ils L’agréent. Il a préparé pour eux des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, et ils y demeureront éternellement. Voilà l’énorme succès ! »

Ce verset est la base à partir de laquelle tout musulman doit démarrer pour connaître la prêche (Da’wa)[2].


[1] Sa parole : « Le livre d’Allah est la plus véridique des paroles… » se trouve dans le sahih de mouslim (3/1321), il prononçait cette dernière formule surtout dans les  khoutba du joumou’a.

[2] Ce verset nous appelle à suivre les traces de nos prédécesseurs, et nous informe de la récompense qu’il en résulte.

 

Copyright © Mise En Garde contre L'ignorance 2000-2006